Pour avoir plus de place dans une maison, il est juste inévitable d’en agrandir la surface. Pour ce faire, rien ne vaut une bonne extension ou une surélévation de sa maison. Pour ce second cas, il n’y a cependant pas une consommation de terrain puisque les travaux ne touchent que verticalement. Dans tous les cas, il s’agira donc d’une élévation de la hauteur du bâtiment.

Un gain de surface par la surélévation

La surélévation représente un gain de surface important, car l’ensemble des travaux ne se fera que sur une partie déjà construite en général. Certes, il est bien possible que l’extension dépasse la surface initiale du bâtiment, mais cette pratique est assez rare au vu de la structure de la maison. Dans ces cas, le plus souvent, les maîtres d’œuvre ont tendance à rajouter des colonnes pour soutenir la partie qui dépasse la surface préalable.

La plupart du temps, toujours pour une question structurelle, la surface ajoutée est moindre par rapport à l’étage en dessous, ou du rez-de-chaussée. Comme quoi, il est impératif de connaître les caractéristiques initiales de la bâtisse tout d’abord, et c’est seulement après qu’ils s’attaquent à la surélévation. Vous pourriez avoir des détails sur le site https://www.camif-habitat.fr/extension/maison/surelevation/nos-conseils/

Les différents types de surélévation

D’abord, il y a la surélévation classique, qui consiste en une augmentation de la hauteur des murs sans toucher à la pente des toits. De cette manière, ce sera précisément une toute nouvelle chambre ou salle qui sera rajoutée. Cette méthode est sans doute celle qui offre la plus grande élévation.

Il y a aussi la rehausse de la toiture, qui ne touchera que la pente du toit. Cette démarche permet d’avoir un grenier habitable, même si on ne touche pas aux murs. Pour davantage de lumière, l’installation d’une lucarne ne serait pas de trop dans cet ouvrage. Il y a aussi l’aménagement des combles qui ne nécessite pas réellement de grands travaux. Cette tendance n’est qu’une surélévation des possibilités d’habitation et non une modification réelle de la hauteur du bâtiment. Il est possible cependant qu’une surélévation de la hauteur du toit s’ajoute à la réalisation des murs.

Les coûts relatifs de la surélévation

La surélévation n’est pas un travail de faible envergure, et le coût peut varier suivant diverses situations. Tout d’abord, avec la tarification la plus basse, il ne s’agirait que de l’augmentation simple de la hauteur des murs ou du toit. Il est possible qu’il y ait des salles d’eau aussi dans cette nouvelle partie. L’adduction d’eau et le système de drainage pourront augmenter le coût de ces travaux.

Il est logique si l’on retouche aussi la structure même de la maison avant de passer à la surélévation. C’est pratiquement le premier souci à faire, puisqu’une surélévation de la maison rajoute du poids à la structure initiale. Si cette construction n’est pas destinée à soutenir de lourdes charges, il va de soi qu’il faut passer par un renforcement de ses capacités. C’est seulement après que les travaux peuvent aller de l’avant.